Le 06 novembre est devenu le jour le plus long pour les Camerounais, car symbolisant l’interminable calvaire dictatorial enduré par un peuple depuis 34 trop longues années, et dont personne ne voit toujours pas le bout du tunnel.
En effet le risque est bien là désormais qu’après Biya ce soit toujours un autre Biya, tellement l’enracinement d’une culture totalitaire est prégnant dans ce pays.
Pour autant il ne faut jamais désespérer de l’insoupçonnable capacité de sursaut de l’Humain, même si des signes inquiétant comme la compromission morale qui gangrène le milieu universitaire local, ne sont pas là pour rassurer.
Soyons vigilants!
Joël Didier Engo, Président du CL2P