Le patron anglopghone de l’organe de régulation des médias, M. Peter Essoka, vient encore de prendre pour son grade: “six (06) mois d’emprisonnement avec sursis pendant trois (03) ans”.
Son crime: avoir osé indexer “les dérives langagières” avec des appels explicites au nettoyage ethnique émis par les journalistes de la télévision des mille collines (VISION 4).
Et dire qu’il y en a qui nous reprochent au quotidien de “ternir l’image du Cameroun” et de son “Président-Fondateur” Paul Biya, quand nous militons simplement en faveur du rétablissement d’un minimum d’impartialité judiciaire pour l’Honneur de la République, dans ce pays ensauvagé où prévaut la loi du plus fort.
Jusqu’à ce qu’ils en soient eux-aussi des victimes, comme Peter Essoka.
Suprême humiliation!!!
JDE