Ils accusent dans leur résolution d’avoir d’avoir arrêté des journalistes, muselé la presse indépendante. Ils soutiennent que les anglophones ont toujours été marginalisés dans l’histoire du Cameroun. Et qu’ils ont des preuves crédibles de l’usage disproportionné de la force contre les camerounais vivant dans la zone anglophone. A savoir: des villages brûlés, des tirs contre les manifestants, les viols, arrestations et tortures.
Les sénateurs américains affirment être sérieusement préoccupé par cette situation. Sur cette basse:
1) Ils demande l’engagement d’un dialogue inclusif.
2) un cessez-le-feu immédiat.
3) une libération des prisonniers politiques et des défenseurs de droit de l’homme. Ainsi que AYUK TABE et tout ceux arrêtés au Nigeria.
4) Respect des droits de l’homme de tous les camerounais ainsi que des journalistes et activistes.
5) Demande au Cameroun de respecter les règles de droit.
Source : BORIS BERTOLT
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Paul Biya juge mal l’ampleur de la crise anglophone
Le président de l’Association pour les peuples menacés à Göttingen, Ulrich Delius, regrette le fait que le chef de l’État camerounais continue de sous-estimer l’envergure de la crise anglophone.
Le chef de l’Etat continue de sous-estimer l’ampleur de la crise anglophone, et maintient d’ailleurs sous les verrous les principaux leaders indépendantistes. C’est ce que regrette l’Allemand Ulrich Delius. Il est président de l’Association pour les peuples menacés à Göttingen.