Nous ne cesserons pas d’alerter la communauté internationale, dont les principaux partenaires du Cameroun, sur ces risques élevés d’affrontements inter-ethniques dans ce pays après 37 années d’instrumentalisation subtile du tribalisme à des fins de pérennisation de la dictature de Paul Biya (86 ans).
Aux origines du génocide au Rwanda, ce furent d’abord aussi des scènes de banalisation d’agression à l’arme blanche comme ici à Obala au Cameroun, sous le regard complaisant des milices du pouvoir en place.
Nous connaissons la suite.
JDE