Des activistes des droits Humains ne sont pas des terroristes extradables dans l’acception des grandes démocraties,….
Y compris quand ils militent en faveur de l’auto-détermination d’une minorité discriminée et sauvagement réprimée dans leur pays d’origine (le Cameroun) par une armée aux ordres d’un dictateur. Bien au contraire leur pays d’accueil doit leur accorder un statut protecteur, malgré la nature voulue “sécessionniste” de leurs revendications et activités.
C’est le cas, comme le confirme cet arrêt rendu par la Haute Cour fédérale de Californie, du camerounais anglophone Tapang Ivo Tanku aux États-Unis d’Amérique.
À bon entendeur salut!
JDE