Le “grand parrain Breton” en séjour au Cameroun est tout naturellement venu à la rescousse d’un de “ses frères” – Vincent Bolloré – en position plus que délicate dans l’exploitation du port autonome de Douala .
Comment aurait-il pu s’en empêcher? Il se savait en territoire conquis sur ce comptoir colonial français maintenu sous la tyrannie d’un vieillard complexé colonial de 87 ans qui ne peut en réalité rien refuser à ses maîtres français.
Le comble, c’est d’entendre à longueur de programmes télévisuels ses partisans nous bassiner littéralement avec la supposée “pleine souveraineté du Cameroun”…
Une vraie blague!
JDE