Décidément, le régime criminel de Yaoundé ne veut nullement me donner le moindre répit. Après m’avoir jeté en prison pour mes articles de presse et mes opinions politiques et presqu’interdit d’exercer ma profession de journaliste-militant des droits humains au Cameroun, après m’avoir contraint à l’exil, des individus au sein ce pouvoir voyou échafaudent en ce moment un plan machiavélique pour attenter à ma personne physique.
En effet, d’après une fuite des services de renseignement camerounais, ces derniers envisagent de coaliser avec leurs connaissances au sein des forces de sécurité de mon pays d’accueil pour m’éliminer physiquement.
Je prends l’opinion nationale et internationale (notamment les organisations de défense des droits humains) à témoin quant à cette menace grave qui plane sur ma personne. Que le gouvernement de la République du Cameroun soit tenu pour responsable de ce qui pourrait m’arriver où je me trouve et qu’il arrête de toujours trouver des boucs émissaires chez ceux qui ne sont nullement responsables de la guerre qu’il a déclarée dans le Cameroun anglophone.
Par Michel Biem Tong, journaliste web en exil