La réponse surréaliste de la Présidence du Cameroun à l’échange inédit de samedi 22 février au Salon de l’Agriculture de Paris, entre le Président Emmanuel Macron et l’activiste Calibri Calibro, confirme la triste réalité d’un régime dictatorial africain plus que jamais enfermé dans sa bulle frauduleuse, haineuse et meurtrière…
Une horrible fuite en avant de laquelle le pouvoir de Paul Biya ne sait ou ne peut plus se départir. Incapable qu’il est devenu après 38 ans de propagande mensongère et de terreur policière, d’apprécier de manière réaliste les rapports de forces internationaux.
À l’instar d’autres tyrannies avant lui, il perdra lamentablement ce semblant de bras de fer engagé, non pas avec la France, mais avec toutes les autres grandes puissances amies (notamment les États-unis d’Amérique) qui font une pression devenue intenable sur cette dernière pour lâcher enfin un vieux tyran sanguinaire devenu un vrai repoussoir international.
Dommage!
JDE
Dans un communiqué signé ce lundi 22 février 2020, le ministre d’Etat Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, fustige les propos tenus par l’activiste Calibri Calibro et par le Président français Emmanuel Macron.