Si les caciques et sycophantes du régime de Yaoundé, dont Jacques Fame Ndongo (d’autres sont morts entre-temps) et quelques élites alimentaires dites Ekang-Beti du Sud Cameroun, pensent ainsi “me tenir” (comme il se dit) en perpétuant ce supplice judiciaire contre un homme auquel ils doivent individuellement tout, ils se trompent lourdement.
Je suis un homme libre, qui l’a toujours été, y compris vis-à-vis de mon père lorsqu’il occupait des hautes fonctions dans cette république et était un cadre influent au sein du parti-État RDPC.
Ils ne m’y ont jamais vu!
Dès lors mes actes et idées n’engagent que moi. Nul besoin qu’ils continuent à se donner en spectacle affligeant, en prenant pour ce faire en otage la noble institution judiciaire du Cameroun, sous couvert de minables luttes de positionnements et règlements de comptes villageois, qui durent en réalité depuis septembre 1999 (se servant parfois de lampistes ne sachant ni lire ni écrire).
C’est dire tout le mépris que m’inspire toute cette galaxie ethno-fasciste.
J’ai simplement honte pour le Sud en particulier et le Cameroun en Général, notamment pour ce que vous en avez fait en 38 ans Messieurs!
JDE