Rebecca Tickle:
Voilà ce qu’au Cameroun de la France et de Paul Biya on appelle un “bien public”.
Andre Blaise Essama, ci-dessous, aujourd’hui embastillé à New-Bell, Douala, est condamné pour “dégradation de biens publics”.
Une mise en question très sérieuse de l’état délabré de la souveraineté de la République très très démocratique du Cameroun.
(Merci Mamane )
Pourquoi nous exigeons la libération immédiate de l’activiste André Blaise Essama?
Parce que l’expression patriotique ne peut constituer un crime, notamment lorsqu’elle consiste uniquement en la destruction militante d’un monument historiquement marqué et controversé.
Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques au Cameroun (CL2P)