Cela prêterait à sourire si ses milices et autres forces de sécurité à sa solde ne réprimaient pas chaque jour jusqu’à la mort des centaines de ses compatriotes, sans compter ceux qui sont portés disparus, notamment la quinzaine de ressortissants Français.
C’est cela un dictateur héritier formaté à la brutalité politique, il ose tout: frauder de manière éhontée au vu et au su de la planète entière, faire tirer sur les populations civiles et ses opposants, essayer tant bien que mal de renverser la charge des fraudes et crimes en orchestrant une campagne médiatique à Paris à coup de millions d’Euros… C’est d’ailleurs à cela qu’on reconnaît un BONGO.
À la communauté internationale et à elle seule de jouer pleinement son rôle de préservation de la paix civile au Gabon, avec au besoin la poursuite de ce cher monsieur avec ses proches collaborateurs devant la Cour Pénale Internationale (CPI).
Les souffrances infligées au peuple du Gabon par son clan familial ont simplement un peu trop duré.
50 ans de tyrannie familiale, ça suffit!
Joël Didier Engo, Président du CL2P
Source : Le Figaro