La marche parisienne du collectif citoyen en hommage aux victimes de la catastrophe ferroviaire qui s’est produite le 21 octobre 2016 à Éséka au Cameroun
[ot-video type="youtube" url="https://www.youtube.com/watch?v=R8jUuSmRED0"]
En image, la manifestation parisienne de samedi 12 novembre en hommage aux victimes de la catastrophe ferroviaire du 21 octobre à Éséka au Cameroun.
Sincères félicitations au collectif d’organisations de la diaspora camerounaise qui l’a organisée.
En espérant que ce fut le prélude d’une vraie culture citoyenne de mobilisations d’un peuple fragmenté en tribus et clans villageois depuis 34 ans – y compris à l’étranger – et qui doit presque réapprendre à faire corps sans avoir peur ou s’abriter en permanence derrière de fausses excuses; pour ne précisément pas avoir à condamner une incurie gouvernementale chronique, ou à s’insurger contre des drames d’une inhumanité aussi cruelle que la mort tragique d’une centaine de camerounais dans des wagons bondés sur un réseau exploité par un prédateur néo-colonial.
J’y étais malgré la pluie et les risques encourus. Je ne le regrette pas. Bien au contraire, je me sens plus apaisé et allégé.
Joël Didier Engo, Président du CL2P
Le Groupe de Solidarité aux Victimes du 21 octobre au Cameroun