TRAITEMENTS CRUELS, INHUMAINS ET DEGRADANTS/DES JEUNES FILLES ROULÉES DANS LA BOUE PAR DES MILITAIRES AU SOUTHERN CAMEROON
https://www.facebook.com/michel.biemtong/videos/1679389562156914/
Que les Biyalatres et autres soutiens du régime de Biya regardent très bien cette image. Quand Amnesty international en parle, on crie au complot.Des jeunes filles a qui des militaires sans éducation, voyous et drogués demandent de “rouler leurs seins dans de la boue”.
Ça se passe au Cameroun (si tant est que le Southern Cameroon soit une region du Cameroun), au 21e siècle. Il s’agit la de l’œuvre d’une “armée professionnelle”. Après, des imbéciles viendront afficher des photos de jeunes armes comme pour justifier cette barbarie alors que ce sont de tels traitements sur ces jeunes filles qui poussent leur frères a prendre les armes et a rêver de se venger.
Les mêmes zigotos viendront chanter que le Cameroun est un et indivisible. Donc vous voulez que les populations du Southern Cameroon continuent de vivre dans un pays ou les citoyens sont traités de la sorte, comme des moins que rien ?
C’est pourquoi non seulement j’encourage les Anglophones a se battre pour reconquérir leur indépendance confisquée par la République du Cameroun, mais aussi moi, Michel Biem Tong, je ne verserai jamais une larme pour un militaire tué dans cette zone. Je dis bien jamais.
Par Michel Biem Tong, web journaliste
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DES FORCES DE SÉCURITÉ CAMEROUNAISES TORTURENT DES JEUNES FILLES EN ZONE ANGLOPHONE
Des camerounaises de la zone anglophone insultées, traînées dans la boue par les forces de sécurité après avoir été tabassées. Ce sont vraisemblablement ces gendarmes qui prennent eux mêmes la vidéo. Ces événements se déroulent à Ekidi.
Souvenez-vous qu’au déclenchement de cette affaire, les étudiantes de l’université de Buea avaient été torturées de la même manière. Une enquête avait été ouverte et personne n’a jamais été sanctionnée. Dans un pays où il n’y a pas de juste, le crime devient un mode d’organisation sociale. Même les agents de contrôle social peuvent devenir des criminels.
BORIS BERTOLT