Une manière de dire aux grands théoriciens camerounais du complot ou de la déstabilisation supposée de la dictature en place, que nous pouvons être solidaires des grévistes de la minorité anglophone, nous insurger contre les sévices et traitements inhumains qu’ils subissent, sans pour autant être moins patriotes ni peu soucieux de la cohésion du Cameroun.
Un pays qui nous est tou-te-s cher et ne saurait être la propriété de certains.
Joël Didier Engo, Président du CL2P