Pour des raisons humanitaires – la non assistance aux victimes et aux proches par l’État du Cameroun (actionnaire de la CamAir), la publication de ce document d’investigation réalisé par des journalistes locaux devenait urgente. Sortir cette affaire d’État de la chape de plomb politique participe aussi de la lutte contre l’impunité dont jouissent les vrais prévaricateurs de la fortune publique.
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“CETTE ENQUÊTE AU NOM DE LA VÉRITÉ”, RÉALISÉE PAR DES JOURNALISTES ET ASSOCIÉS CAMEROUNAIS, EST DÉDIÉE À TOUTES LES VICTIMES DU CRASH DE LA CAMAIR, SURVENU LE 03 DÉCEMBRE 1995 À DOUALA.
Source : mediapart.fr
