NON à une classe politique dite de l’opposition, finalement à l’image de la dictature en place:
– formatée à la soumission au “maître colonial” Français,
– accommodée aux détentions arbitraires sous couvert de la lutte contre le terrorisme ou la corruption des dignitaires les plus redoutés du régime Biya,
– et prompte à participer à des scrutins perdus d’avance, puis à crier à la fraude avec un système électoral inchangé, complètement verrouillé, dans un contexte de guerre civile à l’extrême Nord contre Boko Haram et au Cameroun anglophone.
IL EST DE NOTRE RESPONSABILITÉ COLLECTIVE DE VEILLER À CE QU’UNE TELLE CLASSE POLITIQUE NE PUISSE JAMAIS METTRE LE CAMEROUN À FEU ET À SANG, AU MOTIF DE LA CONTESTATION DE QUELQUE SCRUTIN!
Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques – CL2P