Quand une tyrannie veut humilier et lyncher un des siens, elle y met tous les moyens et usent de toutes les arguties juridiques…Ici au domicile de l’ancien tout puissant ministre de la Défense du Cameroun, Edgar Alain Mebe Ngo’o.
https://www.facebook.com/joel.engo/videos/10218488274341092/
Il faut toujours rappeler que certains de nos proches ont été dans les années 1990 les premières victimes de cette entreprise de diversion dans l’indifférence et même souvent sous les applaudissements des Camerounais, avec aux commandes l’infortuné du moment M. Edgar Alain Mebe Ngo’o, et sur “hautes instructions” du même dictateur Paul Biya.
Par décence on ne peut et ne doit le souhaiter à personne, y compris à son pire ennemi.
Car ce n’est pas ainsi qu’on lutte efficacement contre la corruption endémique dans un état véritablement de droit. Notamment quand on s’est soi-même illégalement enrichi avec ses proches, souvent avec l’aide de ceux-là mêmes qu’on jette parcimonieusement à la vindicte populaire, en refusant curieusement de mettre en application la simple déclaration légale des biens.
C’est aussi cela toute l’imposture institutionnelle à la satrapie de Paul Biya.
Ne nous faisons pas distraire par les règlements de comptes internes à ses membres, dans la lutte fratricide qu’ils ont visiblement engagé pour la succession de leur “créateur” dans leur conception patrimonialiste et clanique de la république.
Le Cameroun n’appartient pas à un clan, à une famille, ou à une tribu.
Ça suffit!
JDE