Nombre de pseudo-panafricains et ethno-fascistes proches de la dictature de Yaoundé vont encore s’étouffer et traiter Michel Thierry Atangana de tous les maux, à la lecture de cet article paru dans Jeune Afrique.
Pourtant ils étaient prévenus.
En effet aucune grande démocratie ne s’accommode – y compris au nom de la realpotitik – de la séquestration pendant 17 années dans un mouroir carcéral d’un de ses ressortissants, et du refus délibéré de versement par l’État fautif des réparations exigées par une instance de l’ONU.
Comme je vous l’ai toujours dit, le Cameroun finira par s’y plier, dans le cas de Michel Thierry Atangana comme pour de nombreux autres.
Ce sera le prix à payer par le petit contribuable camerounais pour son accommodement voire sa complaisance avec une culture de crime politique, particulièrement les emprisonnements politiques pratiqués sous couvert d’une prétendue lutte contre la corruption à tête chercheuse.
Joel Didier Engo , Président du CL2P