Comme le dit assez sagement Valsero, artiste engagé camerounais: “Vous avez fait passer un message chacun sait aujourd’hui que ses décisions, ses choix auront des conséquences.”
Je suis finalement du même avis et espère que le message de la diaspora a bien été compris cette fois-ci, notamment par tous ces artistes qui sont davantage des indigents sans convictions politiques, clochardisés par la dictature en place.
Tout acharnement et harcèlement contre eux serait une pure perte de temps, et pourrait même prendre une tournure conflictuelle préjudiciable à la démarche voulue sensibilisatrice de départ.
Il faut se focaliser sur l’isolement international des principaux acteurs du système politique de terreur qui prévaut au Cameroun et tous leurs soutiens de poids à l’étranger (institutionnels puis individuels). Car c’est la fréquentabilité du régime de Paul Biya qui doit être combattue, à travers l’exigence de sanctions ciblées appliquées à tous ses membres et à leurs proches bien identifiés à l’étranger.
C’est faisable et nous pouvons y parvenir à travers des campagnes bien coordonnées.
Ne vous dispersez pas et surtout canalisez votre énergie!
JDE