Un artiste, parce qu’il serait Beti, n’est pas condamné à jouer uniquement les griots auprès de la dictature de Paul Biya, réduit à la mendicité, puis mourir en silence dans le dénuement complet.
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J’ai ici défendu la liberté artistique vis-à-vis de l’interdiction qui frappait certains artistes estampillés comme des soutiens de Paul Biya par la Brigade Anti Sardinards (BAS). J’appelle à l’application du même principe pour Nkodo Sitony.
Un esprit libre et à fortiori un artiste n’est l’otage d’aucune chapelle politique, encore moins d’aucune satrapie.
JDE