Personne de raisonnable ne peut compatir aux déboires d’un sardinard, fût-il ancien international et grand gardien camerounais.
Joseph Antoine Bell qui n’a évidemment pas démérité pour la présidence de la fédération camerounaise de football pourra méditer longuement sur le prix de la compromission avec la tyrannie…comme celle de Paul Biya au Cameroun.
D’autres personnalités tout aussi compétentes que lui, dans leurs domaines d’activités respectifs, ont vu leurs carrières brisées, quand elles n’y ont pas simplement laissé la vie.
Alors malheur à celles et ceux qui continuent néanmoins de soutenir par opportunisme cette vaste association familiale de malfaiteurs qui a la mainmise sur le Cameroun.
Ils savent ce qu’il en découle: la servitude volontaire et perpétuelle!
JDE
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