Et dire que certains prétendent combattre ainsi “le néo-colonialisme”, avec ces titres vraisemblablement commandés, qui puent la grossière manipulation du régime à distance.
Certains au sein de l’opinion publique y croient malheureusement…
Alors même que le néo-colonialisme ne perdure précisément au Cameroun, uniquement parce ceux là qui soudoient les journalistes en ont toujours tiré le moyen principal de leur maintien au pouvoir depuis 37 ans, bradant pour ce faire les fleurons économiques du pays à de véritables mercenaires.
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Au fond rien, absolument rien n’aurait empêché, y compris sous la pression conjuguée des différents locataires de l’Élysée, qu’un groupe international comme Bollore s’implante au Cameroun avec des méthodes plus conformes à la mobilité économique internationale et au respect des lois camerounaises. C’est ainsi qu’il s’impose et prospère sous d’autres cieux plus transparents et concurrentiels, dans différents secteurs, y employant des milliers de locaux comme au Cameroun.
Alors gare à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain!
Car à force de se servir de la presse à gage pour tirer sur une ambulance coloniale, les clans mafieux et tribaux autour du vieux dictateur finiront par mettre la main sur l’un des derniers fleurons industriels du pays (le port autonome de Douala), dans l’optique de la “guerre” de succession en préparation qui a déjà jeté quelques victimes dans les geôles de la république.
Méfiance et vigilance!
Ce qui se passe réellement derrière le supposé bras de fer du port autonome de Douala ne vous est pas nécessairement conté dans les différentes Unes de presse ci-dessous.
JDE