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ME CHRISTIAN TIMBANE
, AVOCAT INSCRIT AU BARREAU DE PARIS, ACTEUR DE LA SOCIÉTÉ CIVIL CAMEROUNAISE RÉVÈLE LE VISAGE HIDEUX ET L’IMPOSTURE QUI CARACTÉRISE BANDA KANI
Il y a quelques temps, je dénonçais les cris, prises de parole intempestives et barilleries récurrentes de Monsieur Elimbi Lobe sur les plateaux de télévision, qui mettaient très mal à l’aise.
On aurait bien voulu qu’il soit le seul dans ce comportement pequenaud qui dévoie nos médias de la traditionnelle bienséante communicative, qui est la règle dans ce domaine.
Mais hélas !
On ne s’exprime pas à la télévision ou à la radio comme si on parlait dans une beuverie ou dans une bamboche.
Intervenir à la télévision obéit à des canons qu’on debriefe si souvent dans des médias sérieux avant toute participation aux émissions.
Plus inquiétant, cette imposture qui devient la règle dans notre pays : celle qu’on pourrait appeler “panafricaniste Afrique Media”, qui n’est rien d’autre qu’une usurpation intolérable de la digne lutte pour l’indépendance africaine au profit des dictateurs.
On est en droit de se poser réellement la question de savoir, que deviendra le Cameroun avec tous ces imposteurs ?
Plus grave, ce Cameroun de de nos enfants qui se façonne au quotidien, à l’écoute de tous ces tartuffes, charlatans et mystificateurs, souvent mal alphabetisés, sans manière, au verbe haut et à l’injure facile,pire corrompus aux petits sous et pécunes pour beugler en faveur des régimes despotiques d’Afrique.
Résultat des courses dans aucun autre pays africain comme au Cameroun,la dictature, n’est vue comme une valeur republicaine.
Banda KANI, ce fade politicien transparent, président d’un parti insignifiant et dont presque personne ne s’y intéresse, manquant totalement d’aura politique, malgré une volonté affirmée et engagée de devenir un homme politique, en fait partie.
Petit agent, distributeur de tracts lors des villes mortes, plus tard, lisse militant du parti Manidem, qu’il trahira se présente comme analyste politique au Cameroun.
Quelle imposture !
Dire, redire et ressasser que le président ivoirien Allassane Ouatarra est l’ami de la France n’a rien d’exceptionnel et ne fait pas de lui un analyste politique.
Tout le monde le sait.
Si BANDA KANI reste dans la surenchère politicienne, qui recrute à tout vent, peut m’en chaut.
Mais comment rester insensible, sans mot dire, face à sa participation active à ces odieux complot et entreprise malveillante concertée, organisée et instrumentée par ce pouvoir de Yaoundé qui détruit notre pays ?
Et laquelle consiste à tuer et à vouloir éteindre la seule flamme de changement qui brille encore au Cameroun et actuellement portée par Maurice Kamto ?
Comment laisser cette dérive outrancière qui se banalise et qui voudrait que, sous prétexte du débat politique, des individus aux éducations mal achevées, employés comme spadassin du régime déclinant , à l’instar de BANDA KANI, un homme au cursus académique inconnu, manquant de maîtrise de soi et de culture, perroquettant sans référence, au nom de son bon sens, soit chargé de polluer l’opinion publique, de manipulations, mensonges et fausses démonstrations dont le but inavoué est de pérenniser ce pouvoir qui enfonce le Cameroun dans un trou noir?
Vous l’aurez constaté, j’ai décidé de ne plus laisser ces bonimenteurs avides de sous, sans emploi, évoluer en paix et détruire les nobles aspirations de démocratie et de développement du peuple camerounais, qui souffre.
En outre, Monsieur BANDA KANI, devrait savoir qu’ailleurs, même quand ils sont des politiques, il existe une coutume de crainte reverentielle des hommes de science pour ce qu’ils sont, ou ont fait, pour leur pays.
Certainement que cette vision obtue qu’il a du Cameroun lui vient de son manque d’expérience et d’observation de l’ extérieur, lui qui dit, n’être jamais sorti du Cameroun, en dehors de son bref séjour en Guinée Équatoriale.
À cet effet,un homme de la dimension de Maurice Kamto dont seule la biographie devait fait pâlir d’envie de réussite , est loin d’être son égal comme il en vit dans ses rêves les plus fous parce qu’il parle de lui.