Ces messieurs n’ont pas compris que ce type d’intimidations de la presse ne marche pas aux États-Unis, au Canada, et partout ailleurs sous des cieux véritablement démocratiques…
Ou alors leur plainte est une manœuvre de diversion et de propagande à des fins politiciennes internes au Cameroun. Une manière d’avertir tous les journalistes locaux qui seraient tentés d‘aller investiguer sur cette mafia au plus haut sommet de l’État du Cameroun.
De fait derrière cette plainte se cacherait le secrétaire général à la présidence du Cameroun M. Ferdinand Ngoh Ngoh qui voudrait ainsi entourlouper à la fois l’opinion publique camerounaise et son vieux manitou Paul Biya qui semble littéralement ne rien comprendre à tous ces montages sur le dos de la collectivité nationale.
MM. Boris Bertolt et Mohamadou Houmfa, soyez assurés de tout notre soutien dans vos investigations. Et si par hasard vous aviez besoin de nous comme témoins ou partie civile lors des procès éventuels, nous serons sans la moindre hésitation à vos côtés.
Joel Didier Engo, Président du CL2P