Besançon : après l’incendie, la désolation
Les experts sont attendus à Besançon pour estimer l’étendue des dégâts après l’incendie qui a ravagé l’hôtel de ville jeudi. Le principal suspect se trouvait toujours en garde à vue, hier.
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Habitant de la ville de Besançon et Président de l’association Franco-Camerounaise locale, je tiens à manifester mon incompréhension et ma colère face à cet acte criminel et insensé posé par ce réfugié politique camerounais que j’ai rencontré quelques fois.
Monsieur Bertrand Teyou, vient par son acte d’entacher très négativement l’image du Cameroun dans cette partie du territoire français où vivent bon nombre de ses compatriotes.
A-t-il pensé aux dommages collatéraux de son geste.
Quelques soient ses griefs vis à vis de ses interlocuteurs dans ses différentes démarches, rien ne peut justifier l’acte criminel posé.
Nous sommes dans un État de droit et pour un réfugié politique comme lui, la moindre des choses est de respecter les lois du pays d’accueil. La France était-elle obligée d’accueillir Bertrand Teyou?
Par Jean Body Zibi II, Président de l’association Franco-Camerounaise de Besançon
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Un proverbe camerounais ne dit-il pas:“tu sors le chien d’un fossé, il te mord”. Il dit qu’il a fait face à la brutalité du régime en place au Cameroun, on peut dire qu’après l’acte qu’il vient de poser, il va faire face à la rigueur et la sévérité des lois françaises qui punissent très durement ce type de crimes.
Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques au Cameroun