Chaque pays et région a évidemment ses spécificités, y compris en matière politique.
Pour autant l’Afrique noire est aujourd’hui à un tournant de sa laborieuse émancipation politique. Ses populations veulent enfin prendre le contrôle de leur destin, et aspirent légitimement à être dirigés par des femmes ou des hommes de leur choix, pour des durées raisonnablement limitées.
Toutes celles et tous ceux qui ne le comprennent pas subiront les foudres du changement. Parce que les sociétés civiles et les organisations de la jeunesse africaines mieux coordonnées sont plus que jamais déterminées à inscrire l’alternance dans les différentes cultures politiques.
Les gardes prétoriennes pléthoriques et surarmées ne suffiront pas à arrêter la marche de l’Histoire.
Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques au Cameroun (CL2P)