L’indispensable pluralisme des médias et la nécessaire liberté d’information en démocratie, dont se réclament notamment les défenseurs de “la télévision des milles collines” Afrique Média, ne peuvent servir d’alibi à la propagation de la haine et passablement de la xénophobie y compris dans des pays attaqués comme le nôtre.
Cela participe davantage d’un abrutissement orchestré et planifié des masses, qui ne saurait se revêtir d’une mission d’émancipation des peuples africains du néo-colonialisme ou de l’impérialisme occidental.