Voici pourquoi nous ne pouvons – pour quelque raison que ce soit – considérer que la coup de force électoral encours au Gabon participe uniquement d’une querelle familiale entre anciens caciques de la dictature d’Omar Bongo.
Désolé pour ces images, qu’il faut malheureusement montrer, afin de faire toucher du doigts la cruauté d’un dictateur qui enrobe son massacre des populations civiles de toutes les belles théories souverainistes et panafricanistes.
Joël Didier Engo, Président du CL2P