La défense d’une personne injustement incarcérée sous une dictature ou ailleurs ne saurait se faire en échange de quelque gratification, reconnaissance, voire rémunération…à l’exception évidemment de ses avocats appelés à l’assister devant les juridictions.
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L’idéal consiste précisément à défendre sans jamais rien attendre, si ce n’est l’espoir que la concernée – une fois libérée – puisse rapidement retrouver une existence pleine et entière, sans développer une quelconque culpabilité envers qui que ce soit. Puis ses défenseurs d’hier se re-concentrer aussitôt sur le sort des nombreux autres infortunés avec lesquels elle aura parfois partagé l’enfer des mouroirs concentrationnaires du régime de Yaoundé pendant de trop longues années.
Merci
Joël Didier Engo, Président du CL2P