Ce traitement que la soldatesque du tyran camerounais réserve aux avocats anglophones grévistes de Buéa n’est que la confirmation d’une culture de la violence et singulièrement du crime politique ancrée dans les mœurs sociales camerounaises depuis des décennies, et qui n’offusque d’ailleurs plus personne dans ce pays.
C’est dans l’ordre normal de la terreur policière et politique en place.
La marque visible de l’ensauvagement irrémédiable de la république dans ce pays.
Pauvre Cameroun!
Joël Didier Engo, Président du CL2P
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