Mémorandum concernant la situation catastrophique de mon père ZOGO ANDELA Achille, homme d’affaires incarcéré arbitrairement depuis le 30 mars 2011 sous la fausse inculpation de détournement de deniers publics, pendant que les vrais voleurs sont toujours libres, et malgré la décision de demande de sa libération immédiate par l’ONU.
AU NOM ET À L’HONNEUR DE MON PÈRE . JE DÉNONCE ICI UNE JUSTICE DE CASTE ,UN SIMULACRE DE JUSTICE POUR UN ASSASSINAT JUDICIAIRE PROGRAMMÉ. JE DÉNONCE UNE ACCUSATION ABSURDE ET SANS AUTRE FONDEMENT QUE LA PROTECTION DES PRÉDATEURS DE LA RÉPUBLIQUE .
Bonjour,
Ce petit Mémoire pro-domo sur le procès kafkaïen de mon père , Monsieur Achille Zogo Andela s’adresse à tous les amis de l’État de droit, ceux qui croient que l’égalité juridique en République n’est pas une utopie mais un impératif catégorique pour la Paix, l’ordre social et le Vivre-Ensemble dans le Progrès, la Concorde et dont la Justice pour Tous est le socle inébranlable .
La semaine (2 et 3 mai 2018) a été infernale et très difficile pour mon père et tous ses proches . 2 jours d’audiences kafkaïennes, marquées par une mascarade de justice et de nombreuses illégalités procédurales criardes. En effet, le collège de juges, Lagmago Martin,Siewe Anne, Zibi Nsoe Aleine, en charge de son affaire a décidé (sur ordre de qui?) de l’empêcher de parler, de dire publiquement la vérité à la barre. Ces juges ont décidé de bâillonner mon père à fin de lui couper la tête avec une hache ou une tronçonneuse .
En somme, pour le juger, ces magistrats ont décidé tout simplement d’assassiner d’abord le Code de procédure pénale, notre Bible ou Coran commun dans ce jeu de dupes, et par la suite de créer en lieu et place du Parlement, leur propre Loi (nous ne sommes pourtant pas dans une république des juges ou des doges, mais dans un État dit-on de droit). Ils ont décidé d’étrangler la justice républicaine pour sacraliser la justice de caste, celle des copains et des coquins. Celle des corrompus de la République.
De quoi et pourquoi ont-ils peur? Pourquoi refusent-ils, tous, que mon père parle en audience publique?
Alors qu’il attend impatiemment cette occasion depuis huit (08) en détention illégale dans un cachot de Kondengui, pour enfin pouvoir dire sa part de vérité qu’on veut absolument cacher au peuple Camerounais sur l’affaire des bateaux espagnols, sur la destruction de son embryonnaire empire industriel , employeur de plus 3500 salariés au moment de son arrestation arbitraire, sur les iniquités de la justice camerounaise, sur sa libération immédiate et la réparation de 70 milliards de fcfa qu’il réclame suite à la condamnation de l’État du Cameroun par le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU pour détention arbitraire, pour laver son honneur et celui des siens tant salis, pour démontrer et prouver qu’il n’a jamais volé ou détourné un (1) centime à personne et encore moins à l’État, lui qui n’a jamais géré des fonds publics?
Pour mémoire , l’État du Cameroun a signé un contrat commercial (un contrat de crédit-bail) en 1996 avec la société SCLM – SA créée par la sueur et le génie de mon père. Ainsi, suite a de multiples tracasseries administratives telles que les arraisonnements injustifiés et intempestifs de tous les bateaux au port de Douala pendant plusieurs mois , le refus de délivrer des licences de pêche à ces bateaux camerounais, alors qu’au même moment le Ministre en charge de la pêche d’alors distribuait à tours de bras des licences de pêche aux bateaux étrangers notamment Chinois, grecs et nigérians, et dont les promoteurs n’avaient rien investi au Cameroun (aucune chambre froide, aucun atelier de maintenance, aucun bureau sur le sol camerounais, aucun recrutement de marins ou de salariés ou de cadres camerounais, aucun paiement de taxes portuaires, aucun paiement des impôts et taxes ou redevances halieutiques, aucun poisson n’était revendu sur le marché camerounais car les contrats en Time-Charter ou contrats (à temps) de sous location des licences de pêche signés avec les autorités publiques camerounaises en charge de la pêche et des transports leur permettaient de la sorte de perpétrer impunément de tels abus (Crimes).
Ce qui fait que dés le démarrage effectif et opérationnel de cet importantissime projet, la Sclm-sa avait déjà perdu du fait des longues immobilisations dues à ces arraisonnements abusifs, marqués par le sceau de l’excès de pouvoir synonymes de non production, la Sclm – a perdu 95% de sa trésorerie dans des charges qui n’étaient soutenues par aucune activité de production, mais plutôt par des actes de sabotages camerouno-camerounais orchestrés par une petite clique de fonctionnaires véreux, jaloux, cupides et incompétents qui voulaient s’accaparer par tous les moyens (surtout ceux de l’État) de la gestion desdits bateaux.
Conséquemment cette situation administrative impacta négativement sur la confiance des banques, des fournisseurs , et tous les autres partenaires commerciaux de la SCLM .
Après un (01) an et six (06) mois soit 18 mois dans ces conditions d’exploitation chaotiques, en dépit de toutes les stratégies managériales déployées (recherche de financement pour le fonds de roulement, recherche de nouveaux partenaires, délocalisation stratégique de quelques bateaux vers des pays ayant d’abondantes ressources halieutiques (Sénégal, Congo, Gabon, Mozambique, etc) afin d’optimiser sa productivité et sa rentabilité, sans sacrifier un (01) seul emploi camerounais. Au sujet des emplois, des dizaines de jeunes ingénieurs camerounais que mon père avait recruté (sans distinction de sexe, de tribu, ou de religion autre que le mérite) et avait fait compléter leur formation académique à l’étranger et au sein du Groupe Andela, ont tous immédiatement, dés que les difficultés de la Sclm ont commencé, ont pu retrouver d’importants postes dans les directions techniques de grandes entreprises nationales et internationales telles que les brasseries du Cameroun, Camrail, Cimencam, le Port Autonome de Douala , Exxon, Sonangol, etc.
Le 22 Octobre 2002, l’État du Cameroun décide de récupérer tous les bateaux donnés en location vente à la Sclm (et non à ZOGO ANDELA) pour défaut de paiement de loyer (3 échéances impayées d’une valeur globale d’environ 1,8 milliard de fcfa et non de 30 milliards de fcfa, équivalents au montant total du crédit (principal et intérêts) au 31 Décembre 2015.
Depuis le 22 Octobre 2002 à ce jour, soit depuis plus de dix sept (17) ans, les bateaux querellés sont entre les mains des fonctionnaires camerounais, qui les gèrent à leur guise. Combien d’argent tiré des recettes d’exploitation desdits bateaux depuis plus de17 ans ont-ils reversé dans les Caisses du Trésor Public Camerounais??? La réponse est sans appel. DEPUIS PLUS DE 17 ANS LES PLÉNIPOTENTIAIRES N’ONT PAS VERSÉ (01) KOPEK TROUVÉ DANS LES CAISSES DE L’ÉTAT, MAIS PLUTÔT DANS LEURS POCHES ET COMPTES PERSONNELS COMME L’ATTESTE LA CENTAINE DE PIÈCES À CONVICTION QUE MON PÈRE A VERSÉ DANS LE DOSSIER DE PROCÉDURE et que M. Ndjéré et ses juges aux ordres ont pour mission d’étouffer, de cacher par tous les moyens, même par une accusation absurde suivie d’un procès kafkaïen, finalisé par un jugement honteux et une condamnation inique.
Voilà une partie de la vérité qu’on veut dissimuler au Peuple Camerounais.
Aussi, pourquoi refuse- t-on d’instruire les plaintes avec constitution de partie civile que mon père a déposé entre les mains de Monsieur le Premier Président de la Cour Suprême du Cameroun depuis le 23 janvier 2017 enregistrée sous le numéro 97, contre le juge d’instruction Toulepi David, sa greffière, dame Guemgwo Anne et autres, pour faux et usage de faux en écritures publiques authentiques, faux témoignage?
Pour mémoire mon père accuse publiquement ce représentant de la justice, magistrat de 4ème grade et ses collaborateurs d’avoir fabriqué inintelligemment des procès verbaux d’interrogatoire et d’avoir grossièrement imité sa signature. À ce jour aucune mesure d’instruction n’a été prise contre cet acte de grand banditisme, aucun démenti n’a été apporté contre ces graves accusations qui versent l’opprobre sur le blason de la justice camerounaise. Pourquoi aucune plainte pour diffamation ou pour calomnie n’a été initiée contre mon père? Le peuvent -ils seulement, tant ces infractions criminelles sont avérées et irréfragables, tant un procès public sur ces graves accusations viendrait mettre à découvert la face hideuse d’une justice sans repères moraux ou éthiques.
Bien qu’informé, la collégialité: Lagmago Martin, Siéwé Yvette, Zibi Nsoé Aleine, missionnés pour condamner mon père au lieu de le juger, n’hésite pas à faire ´´ sciemment´´ usage de ces faux documents dans la procédure contre l’accusé, mon père, en violation criarde de l’article 263(2) du code de procédure pénale qui fait obligation à ces juges d’annuler ces actes de procédure irréguliers et, de déterminer l’étendue de leur effet juridique et par leur usage volontaire sont en infraction au regard des dispositions du code penal (dura lex sed). C’est ce faux qui sert de cache-sexe donc de mauvais substrat à l’absence patente d’information judiciaire obligatoire dans cette procédure criminelle, en vertu de l’article 142 (2) du code de procédure pénale donc, préalable à tout jugement au fond dans un procès criminel comme c’est cas ici.
Pourquoi le Président du tribunal criminel spécial (tcs) Monsieur Ndjere Emmanuel s’est- il <<assis>> sur la plainte avec constitution de partie civile déposée entre ses mains le 16 octobre 2017 par mon père et enregistrée dans son cabinet sous le numéro 468 contre Nseke Guillaume, Evou Mekou Dieudonné (neveu du président Paul Biya aujourd’hui vice-gouverneur de la Béac), Banamba Boniface, Nzeutchou Jean Claude et consorts. Il faut rappeler que cette plainte avec constitution de partie civile porte sur la distraction au moins de: 3.379.136.328 francs CFA et la rétention frauduleuse de plusieurs bateaux (ex: les navires ISÀGELE, IDABATO,etc) qui sont toujours entre les mains de cette petite clique de fonctionnaires qui par abus de fonctions exploitent illégalement depuis fin 2002 ces bateaux sans reverser un (1) seul centime dans les Caisse du Trésor Public.
Pour étayer son accusation, mon père a versé au soutien de sa plainte déposée entre les mains de Monsieur Ndjéré plus d’une centaine de pièces à conviction, incontestables, notamment: des contrats de location de bateaux à des tiers au Congo en Angola…signés par Messieurs Evou Mekou Dieudonné, ex directeur général de la Caisse Autonome d’Amortissement (cyniquement auteur de la plainte pour détournement de deniers publics contre mon père ) et Nseke Guillaume ex chargé d’affaire du Cameroun au Congo, qui gèrent en complicité avec entre autres Messieurs Banamba Boniface et Nzeutchou Jean Claude (curieusement témoins de l’accusation depuis l’instance de l’instruction préparatoire jusqu’à l’instance de jugement et avec lesquels mon père n’a jamais été confronté en violation de l’article 180 (2) qui au stade de l’information judiciaire, fait de la confrontation entre les témoins à charge et l’inculpé une obligation d’ordre public ).
Ces forbans de la République ont signé plusieurs contrats d’affrètement depuis 2003, 2004, 2005, 2006, etc… dont le loyer mensuel oscille selon les contrats entre 7.000000fcfa et 10.000.000 fcfa , à cela s’ajoute des copies de chèques, de western Union relatifs à l’affrètement des bateaux, mais illégalement émis à leurs propres noms, etc.
Toutes ces pièces à conviction ont été parallèlement versées au dossier de procédure, de toute le juge d’instruction a préféré installé une industrie de production de faux documents qu’il a mis à la disposition de M. L’avocat général Wesiheba David et des juges de la collégialité Lagmago , siewé et Zibi Nsoé.
Au moment même (6 Mai 2018) où je crie sur tous toits du monde entier pour que mon père ait droit à un procès juste et équitable et qu’une saine justice lui soit rendue , ces bateaux sont toujours entre les mains de ces prédateurs de la République, qui les exploitent en catimini, sans payer d’impôts au Cameroun, sans employer un seul camerounais, sans reverser le moindre centime des recettes d’exploitation au Trésor Public Camerounais , mais tout en continuant à accuser mon père d’être en train gérer depuis son bagne, ces bateaux qui sont illégalement entre leurs mains depuis plus d’une dizaine d’années, sans rien reverser à l’État.
Voilà une partie des véritéS que les juges – chargés de mission et le président du tcs qui ont l’infâme rôle d’empêcher que soit étalé sur la place publique ces actes de prévarication de la fortune publique. Autrement comment pourra-t- on connaître la part du vrai et du bluff dans cette histoire tant qu’Evou Mekou, Nseke, Banamba, Nzeutchou et consorts n’auront pas dit dans quels comptes ou caisses publics ils ont reversé d’exploitation des bateaux détournés qu’ils gèrent frauduleusement depuis 2002 à ce jour?
– Qu’ont ils fait des bateaux navigables récupérés entre les mains de la SCLM en 2002?
- Que sont devenus les huit (08) bateaux quasiment neufs que ces commis de l’État ont arraisonné et parqué au port de Douala?
- Où est-ce que Monsieur Evou Mekou a-t-il caché les bateaux ISÀNGELE qu’il reconnaît lui-même détenir dans un document de 2009 versé dans le dossier de procédure. Le rapport de la police judiciaire ne conclut-il pas avec beaucoup de révérence sur l’urgente nécessité de demander à tous les fonctionnaires qui ont géré ces bateaux de venir rendre compte?
- pourquoi le ministère public comme le juge d’instruction ou le collège de juges qui doivent juger mon père ont systématiquement rejeté une telle hypothèse qui ne vise que la manifestation de la vérité ?
- Pourquoi ces fonctionnaires ne sont-ils pas à la barre pour défendre leur gestion des bateaux?
- Pourquoi la collégialité des juges cités supra, a-t-elle refusé catégoriquement, en violation de l’article 385 du code de procédure pénale la constitution de partie civile de la Sclm et de mon père à l’audience?
- Qui veut-on protéger? Évidemment c’est monsieur Evou Mekou et compagnie.
- Qui doit-on sacrifier comme un bouc expiatoire? Évidemment c’est mon père.
- Pourquoi a-t-on choisi dans ce cas d’instrumentaliser ou de se servir de la justice de la République pour bâillonner mon père au lieu d’exiger qu’elle recherche la vérité et rien d’autre?
Mon père a pourtant dit à ses juges qu’il a hâte de se faire juger afin de dire la vérité, afin de clamer et de démontrer preuves à l’appui son innocence, afin de dire qui détient illégalement depuis plus de 17 ans les bateaux et leurs recettes d’exploitation que le Ministère Public dans ses réquisitions intermédiaires et définitives des 2 et 3 mai 2018 empreintes d’une vacuité sidérale, prétend que mon géniteur a détournées, sans jamais l’avoir entendu, sans en avoir apporté la moindre preuve. Cette mascarade avait bien évidemment l’onction du tribunal qui au cours de ces 2 jours d’audience n’a pas permis aux avocats de la défense de déposer leur conclusions après les réquisitions intermédiaires du ministère public .
La collégialité des juges a reçu en cours d’audience une copie déjà dactylographiée desdites réquisitions, tout en continuant à refuser la parole aux avocats de la défense, sans se soucier de leurs protestations et du choix légitime de mon père de déposer comme témoin sous serment, en continuant le procès pendant le sommeil ou hors la présence obligatoire en vertu de l’article 128 (1) du code de procédure pénale, du représentant du ministère public parti en vadrouille.
Face à une telle mascarade de justice, les avocats de Monsieur Zogo Andela afin de ne pas cautionner l’assassinat judiciaire de leur client, ont quitter en guise de protestation et d’indignation la salle d’audience, ce qui n’a pas empêché ces juges de continuer avec hardeur leur tragi-comédie alors que l’accusé se retrouvait seul dans un procès criminel , sans avocat, même commis d’office.
C’est le lieu de souligner ici que le 13 mars 2018, sur l’insistante demande, truffée d’allégations fallacieuses le procès s’est déroulé en l’absence de mon père gravement malade, malgré des justificatifs pertinents et valables transmis par la voie réglementaire et légale (Soit Transmis de Monsieur le Régisseur, certificat médical du médecin – cardiologue, responsable du centre de santé de la prison centrale de Yaoundé le tout daté du 13 mars 2018), en violation de l’article 340 du code de procédure qui fait obligation au tribunal de renvoyer l’affaire lorsque le prévenu absent présente une excuse valable, c’est le cas pour les malades. Cela n’a pas empêché le tribunal d’entendre ce jour-là 2 témoins de l’accusation Nzeutchou et Ndzana, en l’absence de mon père malade et alité au Centre médical de la prison Centrale de Yaoundé.
C’est le comble de la farce judiciaire qui va conduire le 3 Mai 2018, Monsieur Lagmago, président de la collégialité par une pirouette juridique teintée d’une indigne mauvaise fois décidait en violation de l’article 366 du cpp de choisir d’autorité, en lieu et place de mon père son mode de défense, c’est à dire une déposition par déclaration, au lieu d’une déposition sous serment comme mon père souhaitait le faire. Cette formule de déposition par déclaration ne vous permet pas d’interroger qui que ce soit et vice-versa, de la sorte cette combine de ce tribunal permettait d’éviter grossièrement et honteusement grâce à la justice de la République toute confrontation entre les forbans de la république Evou Mekou, Nseke, Banamba, Nzeutchou et mon père en audience publique. Cette délégitimisation de mon père par rapport au choix sur son mode de défense porte une atteinte extrêmement grave sur les droits de la défense et les droits constitutionnels de mon père.
Point n’est besoin d’être ni un grand psychologue ni un éminent psychanalyse pour comprendre qu’au delà du manque d´objectivité et d’indépendance dont seul le président du tcs feint d’ignorer, il existe des éléments factuels sur l’hostilité entre mon père et ces juges chargés de le juger.
En effet crime de lèse-majeśté, mon père a déjà déposé entre les mains de M. Ndjere, Président du TCS ( d’Octobre 2017 à Mars 2018 ) trois (03) requêtes aux fins de récusation contre ces magistrats partisans qui ont été toutes sanctionnée par des ordonnances de rejet de leur supérieur hiérarchique.
En outre comble de malheur et d’audace,, compte tenu des nombreuses infractions à la loi pénale et de la violation récurrente des règles disciplinaires qui fondent le statut des magistrats par ces juges en mission commandée. En bonjour loyaliste, mon père à instruit ses avocats de tirer toutes les conséquences de droit qui découlent de ces abus de droit.
C’est ainsi que le 09 Mars 2018 sous le numéro 221 a été déposée au cabinet de Monsieur le Premier Président de la Cour Suprême, en vertu des articles 157, 629 et 630 du code de procédure pénale :
- Une plainte pénale avec constitution de partie civile contre (X) et contre personne dénommées, à savoir : Monsieur Lagmago Martin, Dames Tchouatcha Watcha Yvette épouse Siewé et Ndjine Aleine épouse Zibi Nsoe pour complicité de faux en écriture publique, abstention fautive, empiétement, coalition contre la loi et déni de justice.
- Une Plainte déontologique déposée le 09 Mars 2018 au cabinet du Ministre de la Justice, Vice Président du Conseil Supérieur de la Magistrature.
La justice républicaine est un sanctuaire de paix, à contrario, la justice sélective ou de caste draine tous les affres de l’injustice donc du trouble à la paix. Notre pays ne pourra être une grande nation en développement si et seulement si, la justice joue pleinement son rôle cardinal de garant du pacte social et citoyen. Celui- ci passe par l’égalité de tous les citoyens en droits et en devoirs, et garantit à l’accès à la justice. Pour le moment , je doute que nous soyons ici dans une telle perspective .
Le compte n’est pas bon. Pour ma part, je vais par le droit et les lois continuer à me battre (même naïvement) pour que l’on sache que les ennemis de la règle de droit ne peut pas être de bons juges, et ne peuvent pas légitiment – sans usurper- prétendre rendre justice au nom du peuple camerounais comme le proclame l’article 37(1) de la constitution camerounaise du 18 janvier 1996. Ces mauvais sont un danger permanent pour notre bien commun qu’est la paix, la justice et le vivre- ensemble.
Nous les jeunes nous rêvons d’un monde meilleur où vivre dans pays ne s’apparenterait plus ni à un cauchemar ni à un calvaire.
Ce procès inique continue le 15 mai 2018. Affaire à suivre.
Gervais Brice. FD ZOGO
Le fils de son père