Plutôt rassurant sur l’avenir du Cameroun…Car tout un pays ne peut pas délibérément sombrer dans l’infamie officielle, voire d’État.
Il y aura donc ainsi eu un, parmi les observateurs avisés de ce dossier, qui aura pris sur lui pour relater fidèlement la chronologie des faits qui ont pu justifier la séquestration arbitraire de maître Eyoum à Kodengui.
Merci M. Ebosse.
Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques au Cameroun (CL2P)
[spacer style="1"]
Dans les prérogatives du Chef de l’État, la fin d’année marque depuis des années le moment important de la République pour se souvenir de plusieurs prisonniers susceptibles de continuer leur vie hors des établissements carcéraux d’où la prérogative de signer une commutation de peine ou une remise de peine pour des infractions et cas spécifiques.
Dans l’affaire Lydienne Yen Eyoum, l’avocate de l’État du Cameroun, emprisonnée depuis plusieurs années déjà et qui aura à travers ses avocats épuisé toutes les voies de recours pour sa libération attend. Son cas évoqué lors de la visite du Président François Hollande en terre camerounaise comme avec le cas Michel Thierry Atangana, inquiète également au plus haut point les autorités des deux pays amis. Le Sénateur Jean Yves Leconte venu expressément pour s’enquérir de la situation s’en va, comme il le signale satisfait de l’avancée des négociations sur sa libération. Une libération pendue à la plume du Chef de l’État qui pourrait intervenir à la suite de la signature d’une grâce présidentielle au cours du mois de Décembre 2015 ou au plus tard en Janvier 2016.[Lire la suite…]
Source : camer.be