Voici la réponse du porte-parole du ministère français des Affaires étrangères lors du point de presse du 10 juin 2015, après la confirmation de la condamnation à 25 ans de l’avocate française Lydienne Eyoum au Cameroun, dont la détention a été jugée arbitraire par les Nations unies:
“Nous sommes très attentifs à la situation de notre compatriote, en lien avec sa famille et ses conseils.
Les autorités camerounaises connaissent notre mobilisation et notre inquiétude.
La France soutient depuis sa création le groupe de travail des Nations unies sur les détentions arbitraires, qui est composé d’experts indépendants, afin qu’il puisse rendre des avis sur des situations particulières comme celle de Mme Yen-Eyoum.”
Source :Point de presse du 10 juin 2015